sousmerde_retardatr

joined 11 months ago
 


https://www.smbc-comics.com/comic/circle

Bonus comic : https://www.smbc-comics.com/comic/real-3

Godel proved you can't prove anything. Don't think about it too hard.

 

Je sais pas, j'ai juste souvent entendu parler de ce problème de compétitivité, avec notamment cet argument de la fuite des capitaux français, le voir balayé aussi simplement m'a donné envie de le partager.
Après, ça ne parle pas de l'investissement étranger, et davantage du manque de lutte contre les fraudes fiscales, sans aborder la possibilité d'un abandon de la nationalité française pour ne plus être taxé, ou du transfert de la localisation de ces propriétés, ce qui dans les deux cas peut engendrer des complications(, personnelles, pour continuer de vendre aux consommateurs français·es, ...)
Je laisse ce post car c'est vrai que l'on entend parfois avec défaitisme que l'on ne peut pas contraindre les plus riches à l'impôt, sinon ils partiront, prenez la peine d'un commentaire si vous me voyez dans l'erreur lorsque je nie cette difficulté technique.

suite :

[–] sousmerde_retardatr@lemm.ee 3 points 10 months ago* (last edited 10 months ago) (1 children)

Il doit être 'encore plus difficile'/'quasi-impossible' pour des associations nouvellement créées d'obtenir cet agrément, pratique pour lutter contre l'anti-corruption.
Et les gens ici n'ont pas réalisé que ces menaces/problèmes durent depuis plusieurs années, même si c'est de pire en pire, le gouvernement pourra faire disparaître Anticor sans aucune conséquence et nous oublierons rapidement.

12
titre (i.postimg.cc)
submitted 10 months ago* (last edited 10 months ago) by sousmerde_retardatr@lemm.ee to c/france@jlai.lu
 

D'ici.

À noter que ce genre d'accusation peut être facilement portée envers pas mal d'autres pays, certains morts ou coups d'état sont plus graves que d'autres, rien de nouveau.

[–] sousmerde_retardatr@lemm.ee 2 points 10 months ago* (last edited 10 months ago)

I don't understand people like you.
For me, it's impossibly naive to believe that our disinformation( doesn't exist, or) will be censored as much as the disinformation of our opponents, yet that's apparently the new mainstream opinion.
And x.com is the only social media to have implemented Community Notes.

 

J'avais suivi le premier passage, mais ai laissé traîner le visionnage de la vidéo traitant le deuxième passage(, bien moins superficiel apparemment, et un peu moins bêtement hostile, peut-être y avait-il cette fois-ci au moins un député pour argumenter en sa faveur, sinon le système est ainsi fait qu'il n'y aura personne pour 'défendre la pétition'/'répondre aux objections').

Voici le texte cette fois-ci :

Mesdames, Messieurs les députés,

Le 11 octobre 2023, la commission des lois a examiné, puis classé la pétition n°1559 pour un RIC Constituant. Cette pétition était une proposition amendée suite aux remarques soulevées lors de l’examen d'une précédente pétition.
Nous souhaitons rester dans cet esprit de dialogue fructueux. C’est pourquoi nous soumettons aujourd’hui cette nouvelle version qui prend en compte les préoccupations exposées par la commission en octobre.
Si certaines modalités de cette proposition vous semblent imparfaites, nous vous invitons à soutenir sa poursuite vers un examen à l’Assemblée, afin que ces modalités puissent être débattues et amendées dans l’hémicycle.

Toutefois, compte tenu des approximations et contrevérités entendues durant les précédents traitements de nos propositions, afin d’éviter tout nouveau malentendu sur nos modalités et nos intentions, nous souhaiterions que nos experts soient invités à la réunion qui traitera de la présente proposition, comme le prévoit l’article 148 du règlement de l’Assemblée.
Aussi, nous souhaitons que le détail des votes soit publié, conformément à la décision du Conseil constitutionnel n° 2009-581 DC du 25 juin 2009.

– Exposé des motifs –

L'article 6 de la déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen consacre le droit des citoyens de concourir “personnellement” à la formation de la loi.
L’article 2 de la Constitution consacre le principe de gouvernement “par le peuple”, et l’article 3 consacre l’exercice de la souveraineté nationale, qui appartient au peuple notamment “par la voie du référendum”.
Nous, très large majorité des citoyens selon tous les sondages, souhaitons l’instauration du RIC constituant, une procédure qui a fait ses preuves de par le monde, afin que ces proclamations ne soient plus théoriques, mais mises en pratique et incarnées dans un nouveau droit politique, celui d’un peuple réellement souverain.

Prises en compte des remarques de la commission

Mme la Rapporteure a pensé que notre proposition écartait le Parlement de la procédure. Il n’en est rien et ce n’est pas notre volonté. Dans notre article 89, le Parlement n’est pas exclu, il reste l’acteur principal. Notre proposition ne vise qu’à élargir l’initiative aux citoyens, à aucun moment il ne s’agit d’en priver le Parlement. De plus, les parlementaires ne sont pas exclus de l’initiative citoyenne, ils sont des citoyens à part entière. Ils peuvent donc, comme les parlementaires le font en Suisse, déposer une initiative citoyenne, récolter des signatures et soumettre leur proposition à référendum.
Notre proposition ne prive pas le Parlement de l’initiative, au contraire, elle donne aux parlementaires, même minoritaires, l’occasion d’en appeler à l’arbitrage démocratique des citoyens.

Cette fois, sur les conseils de la commission, nous introduisons la possibilité d’une contre-proposition parlementaire, comme c’est le cas en Suisse.

Mme la Rapporteure, ainsi que d’autres députés, y compris parmi ceux s’étant prononcés en faveur de l’examen à l’Assemblée, ont estimé qu’il était nécessaire de pouvoir réviser la Constitution sans référendum pour les modifications techniques, complexes, ou juridiquement nécessaires. Il va de soi qu’il ne s’agit pas d’une volonté de réformer la Constitution contre la volonté des citoyens. Nous avons donc réintroduit la procédure du Congrès pour les projets correspondant à ces critères.

Le contrôle par le Conseil constitutionnel a également fait naître des craintes quant à l’insuffisance du délai prévu et l’éventualité d’une saturation du Conseil par des propositions peu sérieuses. Nous comprenons ces arguments et avons donc revu la procédure de soumission des initiatives au Conseil, afin d’écarter ces risques.

Pour finir, le seuil de signatures a semblé trop faible à la Mme la Rapporteure, qui a justifié cela par l’incohérence d’un seuil plus élevé pour une loi ordinaire (art.11) que pour l’adoption d’une loi constitutionnelle.
C’est juste, mais comme l’a très justement souligné le Conseil constitutionnel dans sa décision du 18 juin 2020 : “la procédure reste dissuasive [...] le nombre de soutiens à atteindre est très élevé (environ 4,7 millions)”. Ceci est confirmé par M. Macron, qui a proposé dès 2019 dans son projet “pour un renouveau de la vie démocratique” de réduire drastiquement ce seuil à 1 million.
Nous proposons donc qu’il en soit de même pour l’initiative des révisions. En effet, dans toute l’histoire de France, seules 7 pétitions ont atteint un tel seuil, il semble donc que ce soit un seuil plus que raisonnable pour éviter toute utilisation intempestive de la procédure.

Merci pour votre attention et votre examen de ces nouvelles modalités.

**– Modifications – **
Les 5 critiques procédurales émises par la commission :

  • Exclusion du Parlement
  • Impossibilité de révisions techniques sans référendum
  • Risque de révisions inconstitutionnelles à cause du délai de contrôle
  • Risque d’un trop grand nombre de propositions soumises au Conseil constitutionnel
  • Seuil de signatures trop faible

Voici comment la nouvelle proposition répond à ces critiques :

  • Inclusion du Parlement Comme suggéré par la commission Ajout d’une possibilité de contre-proposition parlementaire (.6)
  • Possibilité de révisions sans référendum comme suggéré par la commission Réintroduction de l’approbation de révisions par le Congrès (.10)
  • Impossibilité de révisions inconstitutionnelles. Allongement du délai de contrôle du Conseil constitutionnel (.4)
  • Diminution du nombre de propositions soumises au Conseil constitutionnel Ajout d’un seuil de signatures avant soumission (.4)
  • Augmentation du seuil de signatures Comme suggéré par la commission Augmentation du seuil à 1 million (.5)

– PROPOSITION –
L’article 89 de la Constitution est ainsi révisé :

.1 L’initiative de la révision de la Constitution appartient concurremment au Président de la République sur proposition du Premier ministre, aux membres du Parlement et aux citoyens.

.2 Le projet ou la proposition de révision, à l’exception des propositions d’initiative citoyenne, doit être examiné dans les conditions de délai fixées au troisième alinéa de l’article 42 et voté par les deux assemblées en termes identiques.

.3 Lorsque la proposition de révision est d’initiative citoyenne, elle doit mentionner l’identité du ou des porteurs de l’initiative, le titre, le but de la proposition et l’amendement de la Constitution entièrement rédigé.

.4 La proposition de révision d’initiative citoyenne est déposée auprès du Conseil constitutionnel après le recueil de 50 000 signatures de citoyens sur papier libre. Les signatures doivent être accompagnées des noms d’usage, prénoms, dates de naissance et adresses des signataires. Le Conseil constitutionnel dispose d’un délai de 2 mois à compter du dépôt pour contrôler la validité des signatures et statuer sur sa conformité aux alinéas 11 à 13 du présent article. À l’issue de ce délai, la proposition est considérée comme valide. La proposition valide est publiée officiellement et est accompagnée d’un support papier et numérique où les citoyens peuvent apporter leur soutien. En cas de rejet, le Conseil constitutionnel produit une décision publique motivée.

.5 La proposition de révision d’initiative citoyenne doit recueillir au total un million de signatures d’électeurs dans un délai de 18 mois à compter de sa publication officielle.

.6 Les signatures de soutien à la proposition de révision d’initiative citoyenne, en format papier ou numérique, doivent être accompagnées des noms d’usage, prénoms, dates de naissance et adresses des signataires. La validité des signatures est contrôlée par le Conseil constitutionnel dans un délai qui ne peut dépasser une durée de 4 mois. Les parlementaires disposent de 24 mois, à compter de la validation de l’initiative, pour déposer une contre-proposition par la procédure de l’alinéa 2 ci-dessus. Le ou les initiateurs peuvent alors décider de retirer leur initiative.

.7 Une fois validée ou à expiration du délai prévu à l’alinéa précédent, le Président de la République soumet la proposition de révision au référendum dans un délai compris entre 3 et 12 mois. Aucun référendum ne peut être tenu pendant les 90 jours qui suivent la tenue d’un référendum.

.8 Les référendums sont précédés d’une campagne garantissant la diffusion de débats contradictoires et de toutes les informations nécessaires à un choix éclairé.

.9 La révision est définitive après avoir été approuvée par référendum. Si une initiative de révision fait l’objet d’une contre-proposition, les deux sont soumises séparément à référendum le même jour. Si les deux obtiennent l’approbation de la majorité des votants, seul le projet ou la proposition qui obtient le plus de votes favorables est approuvé.

.10 Toutefois, le projet de révision peut ne pas être présenté au référendum lorsque le Président de la République décide de le soumettre au Parlement convoqué en Congrès et qu’il ne fait pas l’objet d’une demande de référendum ; dans ce cas, le projet de révision n'est approuvé que s'il réunit la majorité des trois cinquièmes des suffrages exprimés. Le bureau du Congrès est celui de l'Assemblée nationale. Après la publication de la décision de convocation du Congrès, les citoyens disposent de 200 jours pour déposer auprès du Conseil constitutionnel 500 000 signatures d’électeurs demandant un référendum. Le contrôle des signatures est identique à celui de l’alinéa 6 ci-dessus. Si le seuil est atteint, le projet de révision est soumis à référendum.

.11 Aucune procédure de révision ne peut être engagée ou poursuivie lorsqu’il est porté atteinte à l’intégrité du territoire.

.12 La forme républicaine du Gouvernement ne peut faire l’objet d’une révision.

.13 Aucune révision ne peut avoir pour objectif de restreindre les droits civils et politiques garantis par la Constitution.

.14 Des modalités d’application complémentaires peuvent être fixées par une loi organique.

[–] sousmerde_retardatr@lemm.ee 1 points 11 months ago (1 children)

Fair enough, i'll just point out that with such enhanced surveillance it'd be even more difficult than currently(, and ideally impossible,) for people loyal(, or hostile,) to Trump to cheat the election. Thanks for the chat

[–] sousmerde_retardatr@lemm.ee -1 points 11 months ago

But it's also preventing others from lemmy.world to see posts or comments from lemmygrad/hexbear/..(, as well as preventing them to post or comment), they're not leaving the choice to lemmy.world users(, nor even asking them).

[–] sousmerde_retardatr@lemm.ee 1 points 11 months ago* (last edited 11 months ago) (3 children)

(i didn't know that, it'd require more researchs than i did on the claims of each side, they'd perhaps say that the coverage was insufficient).
In my opinion we don't have anything to lose by strengthening our electoral system, and every accusation is an occasion to improve it, unless you think that it is already failproof, i've seen long lists of arguments at the end of 2020, but John Oliver also made three videos on the topic of fraud prior to that, and our side didn't hesitate to have doubts twice on the results for Bernie Sanders, whether it happened or not, i do think that cheating is a serious possibility and that such claims should be solved by better measures to please the future candidates/incumbents, instead of only relying on censorship(, youtube, facebook, twitter, ...). To sum up, he did commit to a peaceful transition, and we don't have much to lose by implementing an even stronger surveillance of the procedure for the next elections.

[–] sousmerde_retardatr@lemm.ee 1 points 11 months ago* (last edited 11 months ago)

You're evidently right, but many articles for the 2021 elections(, 1, 2, 3, ..., including the one cited), said that it has been 15 years since the EU sent observers.

In any case i would like to emphasised that this debate isn't useful : even if westerners systematically sent observers they would still claim that the results are illegitimate because of the overall process(, which deserve some explanations/debates because our own system is far from perfect, and we're blending the consequences&causes of the sanctions, etc.). I should have deleted this post like i intended at first once i realized that.

A few more minutes of research wielded these results :

I didn't write that we refused to send international observers to Russia, but that « i've read such suspicions about Russia and Iran, we even showed videos of a ballon in front of the c.c.t.v. for Russia », despite « the reasoning that when you're so overwhelmingly popular there's no need to miscount the votes in your favor ».
It appears that we did send international observers(, until 2021), but my point is that it wasn't necessary, yet we're still showing suspicions(, e.g. the balloon in front of a c.c.t.v. to take an example).

I'd just like to end by saying once again that this whole debate is pointless because it doesn't change anything in the end, whether we systematically refused to send observers, or always sent them while accusing the whole "democratic" process instead(, it's apparently in-between, but much more the latter than the former, contrary to what i initially thought).
I should have deleted this post from the start like i first intended once i realised, in the selftext, that « In the end sanctions would stay in place so it wouldn't be useful in any way, and doesn't matter, i should probably delete this post but i'm leaving it in the off-chance that some find an interest in it. »

Sorry if you felt that i wasted your time.

[–] sousmerde_retardatr@lemm.ee -2 points 11 months ago (2 children)

I can't find this source again(, when they said that they lacked time to send observers), it wasn't talked much at the time, but i'm positive it happened, here's an example of refusal for 2020 though : https://www.theglobeandmail.com/world/article-eu-says-it-wont-send-observers-to-monitor-venezuelan-election-due-to/
Apparently, they've agreed to send observers in 2021 : https://www.postguam.com/the_globe/world/maduro-electoral-observers-from-eu-delegation-of-spies/article_8df8438a-50d1-11ec-b8be-13b5cf9ed4e5.html
The last time was in 2015, once again at the request of the venezuelan government : https://www.eeas.europa.eu/node/26227_en
Some people say that the government won't ask again in 2024 : https://www.reuters.com/world/americas/venezuela-will-not-allow-eu-election-observers-2024-vote-lawmaker-2023-07-13/
But i've clearly overestimated the impact : Venezuela will still be sanctioned and the public opinion will still consider that they're miscounting the votes. Allowing international observers or not doesn't change anything in the end, we'll only be satisfied once the socialist revolution is out, and will continue to accept unsatisfying electoral conditions with our allies(, e.g., in Africa).
You'll need to read pro-venezuelans medias to see the other point of view.

As for Russia, you'll mostly find articles saying that his disapproval rate is at an all-time high, but this kind of article, or statista, are confirming that he's one of the most popular president in the world. I could easily find more sources for this, so the reasoning is that when you're so overwhelmingly popular there's no need to miscount the votes in your favor :

Are you unsatisfied with the sources or my conclusions ?

[–] sousmerde_retardatr@lemm.ee 33 points 11 months ago* (last edited 11 months ago)

If the most recent death toll wasn't enough, here's something else showing that they don't really care about keeping an appearance, as well as another U.N. school, i don't know what to say or do, everyone knows that they won't destroy "Hamas" :

If their goal was only to send a message, then there's no point to be that extreme, the only reason left that i can see is that they want to keep the Gaza Strip, it's always a bet but they considered that they'll be allowed to(, in which case their security would indeed be increased by getting rid of all palestinians).
Their neighbours would have to be quite desperate to think that embracing Israel and the west is still their best option, but if they do it'd probably be for economic reasons, and/or perhaps fears of retaliations, i.d.k., we'll see how it'll evolve in the future, but i can't believe that they would kill all of these people and destroy everything without a real goal, sending a pointless message isn't one, nor is the unrealistic aim of destroying "Hamas", i find it hard to imagine them simply going back to their side as if they accomplished something by pointlessly mass murdering thousands of childrens&humans on the other side of the wall, awful that this senseless option of a useless massacre is the most desirable.

 

Previous title apparently :

[–] sousmerde_retardatr@lemm.ee -4 points 11 months ago (6 children)

If he's re-elected then perhaps that international observers with an absence of electronic voting could be approved by both sides and prevent such doubts from being formulated again. Observers may be considered humiliating for a great power but could perhaps be generalised to every representative republic, if only in order to prevent such excuses ?

[–] sousmerde_retardatr@lemm.ee -5 points 11 months ago* (last edited 11 months ago) (6 children)

Because the votes are counted in a wrong way, or because he got rid of the opposition, or because he's controlling the medias ? The first one is false, even western surveys confirmed his support, but the second and third one could be debated, yet it gets interesting since we could throw the same accusations at our own countries(, it's very difficult to launch a new political party in France since you need an agreement from hundreds of mayors who reserve them to mainstream candidates, and almost impossible to be known without at least a bit of support from mainstream(legacy) medias, Internet could perhaps change that one day but we're not (t)here yet).

 

I've seen it for Venezuela and Syria, but i'm sure i could find this for quite a lot of other countries.
We're usually saying that it would legitimize these elections, and are asking instead that the opponents boycott them. We can continue to criticize the biases surrounding the votes instead of the votes themselves if that's the problem.
Some leaders may believe that the processus of elections is biased because unjust external pressures are putting a strain on the country and strengthening the opposition ; but, despite that, some of them are still asking for international observers, which could be an occasion to seize, instead of refusing to send them yet accusing them of cheating.
So i wonder if i'm missing something by thinking that we don't want to legitimate the whole process by counting the votes.

For them it seems like it would be the same if they're already asking, but for us it could open our societies to accusations of double standards since it could be argued that our own elections aren't perfect.
In the end sanctions would stay in place so it wouldn't be useful in any way, and doesn't matter, i should probably delete this post but i'm leaving it in the off-chance that some find an interest in it.

If you had the initial thought that international observers won't prevent cheating : they would count in double the votes, with the venezuelans of their area, and have everything under their eyes from the beginning of the vote to the end of the official count, so i don't see how cheating would be possible.
For now, our version is that they're miscounting the votes, yet we're refusing to send such observers.

view more: next ›