Voici venu le temps, non pas des rires et des chants (quoique), mais des fêtes de fin d’année. Pour les chanceux, les retrouvailles en famille, entre amis, ou avec ceux que l’on considère comme les deux, les cadeaux pour se prouver qu’on s’aime et les repas parfois trop gras qui nous restent sur l’estomac pendant des jours. Pour les autres, la solitude, exacerbée par cette ambiance sapin et cotillons. Courage.
Pour tous, et surtout pour toi, oui toi là, toi qui me lis, une nouvelle newsletter toute pimpante, coiffée de son bonnet rouge à pompon blanc. Qui fait de la lumière. Et qui chante Jingle Bells. Mais non, elle ne porte pas de costume de père Noël ! Voyons ! Elle n’a pas de bras ! Pourtant, elle aimerait vous faire un câlin, surtout si vous vous abonnez :
▶️ À lire : Quand les développeurs indépendants s’inspirent de la France | Nos régions ont du talent — sur Canard PC (c’est de l’autopromo, oui oui).
Votes et soumissions 🗳️
Non, ce n’est pas le titre d’un mauvais roman de mommy porn. Décembre, c’est le mois de la fête et avec lui, les cérémonies de remise de prix, à commencer par les Game Awards, diffusés ce jeudi 7 donc JUSTE APRÈS l’envoi de cette infolettre (LE SENS DU TIMING). Deux jeux indépendants français y sont nommés dans la catégorie « Games for impact », comprenez les œuvres « qui suscitent la réflexion avec une signification ou un message prosocial ». La pressiooooon. Quand les Français changent le monde (ou presque)
On retrouve donc Chants of Senaar (dont je vous parlais dès la première infolettre) du studio toulousain Rundisc et Tchia des bordelo-néo-calédoniens d’Awaceb. Une belle exposition, avouons-le, même si la cérémonie portée par Geoff Keighley est raillée sinon largement critiquée (une rapide recherche Google m’a envoyé vers ce résumé de la situation par Tious qui me semble pas mal pour comprendre si vous n’avez aucune idée de la choucroute).
Mais bon après tout, il y aura vraiment du beau monde, je ne vois pas ce qui peut mal se pass…